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Les polatouches

 

 

 L'homme a eu différentes inspirations pour essayer de voler, tel que la chauve-souris ou l'écureuil volant. C'est sur ce dernier que l'homme c'est porter.

Il existe deux types de polatouches.

Le grand :     

 

°nom latin : GLAUCOMYS SABRINUS

                         Â°nom commun : Grand Polatouche

                         Â°surnom : écureuil volant

                         Â°habitat : Amérique du Nord – Forêt de conifère et forêt mixte

                        Famille classé : Sciuridae

                                   Sous famille : Pteromyinae

                        °Distance parcourue : 50m

 

°Principaux prédateurs : Le hibou, le martre, le raton laveur, le lynx roux, le loup cervier, chat domestique

 

° Taille : °total : 245 à 368mm

            ° Queue : 108 à 180 mm

 

°Poids : 75 à 200g

            Les nouveaux nés : 4.7 à 6g

 

°Alimentation : cône de pin, d’épinette et de sapin. Champignons et lichen arboricole. Bourgeon graine fruit insecte Å“uf et oisillons.

 

°Nocturne : il est totalement nyctalope et émet sa position avec des gloussement aigues. Les scientifiques pensent que cette espèce utilise l’écholocation.

Le petit :       

 

°nom latin Glaucomys volans

                        °nom commun : petit polatouche

                        °surnom : idem

                        °habitat : Amérique du Nord- Forêt de conifère et forêt mixte

                        °Famille classé : Sciuridae

                                   Sous famille : Pteromyinae

                        °distance parcourue : 6 à 9m

 

°Principaux prédateurs : Grand Duc d’Amérique, Couleuvre (Elaphe) , le raton laveur, l’opposum de Virginie, belettes, vison d’Amérique, martre d’amérique, renard roux, chats domestique et lynx.

 

 

°Taille : Total 200 à 260 mm

              queue : 93,5mm

 

°Poids : 47 à 85g les femelles avides peuvent aller jusqu'à 100g

 

 

°Alimentation : les noix des feuillus, le chêne et le hêtre a grande feuille, insecte Å“uf et oisillons.

 

 

°Nocturne : Nyctalope, gloussement aigues pour donner sa position. Echolocation.

 

 

 

Les deux polatouches possèdent une membrane, le patagium, qui leurs sers pour planer d’arbres en arbres. Leur queue est utilisée comme gouvernail et stabilisateur. Ils ont tout les deux la même technique de vol, a savoir;

   -le décollage : le polatouche peut importe son espèce va monter a son arbre de départ, lâcher prise faire un bond en direction de l’arbre d’arrivé, il écarte alors les pattes et tend sa membrane qui est reliée de ses membres antérieurs à ses membres postérieurs.

  -le vol : son patagium se gonfle a la manière d’un parachute et l’air exerce une force améliorant la portance de l'animal.

  -l’atterrissage : Le polatouche décide alors de se mettre en position verticale et tend ses pattes vers le tronc pour pouvoir s’agripper à son arbre d’arrivée.

 

 

 

 

 

Evolution du polatouche : Dans l’ancien temps le polatouche était maladroit (il marchait gauchement) et ne savait pas nager (il se noyait invariablement). Au cours du temps, et de plusieurs mutations spontanées de ces cellules naquit une nouvelle espèce de polatouches avec une membrane reliant ses membres antérieurs aux postérieurs. Au début celle-ci n’était que petite et ne le portait pas pour planer, au fils des générations les mutations ont continuées jusqu'à donner les polatouches de nos jours. L’un des facteur décisif est le fait que l’espèce ayant un début de membrane commençait a vivre dans les arbres, alors que la plupart des prédateurs ne savait pas grimper. Faisant ainsi en sorte que seul cette espèce sur le continent américain survive.

 

 

Relation avec le mythe d’Icare :

Dédale, inventeur du labyrinthe et père de Icare, aida Thésée et Ariane, fille de Minos, pour qu’il puisse sortir du labyrinthe vivant. Après avoir su la vérité, Minos enferma Dédale et son fils Icare dans le labyrinthe. Pour s’évader Dédale imagina deux paires d’ailes pour lui et son fils constitué de plumes et de cire. Icare volant pour s’évader sans écouter les indications de son père, vola trop près du soleil. Les ailes brûlèrent et Icare tomba dans la mer qui porte maintenant son nom la mer d’Icare.

D’où l’expression se brûler les ailes.


 

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